Sur sa valeur du Prix d'Alençon, l'accrocheuse Dolce Vita Phédo est en mesure de regarder droit dans les yeux les mâles Eveil du Châtelet, qui n'est présenté qu'à bon escient sous la selle, mais qui reste difficile à utiliser, comme Dusty Wood, dont l'entourage a misé surtout l'atout fraîcheur pour espérer le voir briller, tandis que celui de l'étonnante Edition Géma a refait appel à Gaëlle Godard avec laquelle elle est invaincue cette année, pour tenter d'effacer l'affront du Prix de Langres... Bien mis à la main de l'Etrier d'Or, Esta Bueno visera une fois de plus le podium. Après "Hawk, Histoire et Esperanza", le très habile Noël Langlois ne doit certainement pas refaire la route en région parisienne avec Djackpot de Vivoin pour jouer les simples figurants.
par Eric Domanche